« — Donc, tu ne vas pas à ta pourvoirie ? — Mais oui, j’y vais. Mon petit-fils Gabriel et ses amis sont venus m’aider à ouvrir le camp de pêche. J’ai quatre clients européens qui arriveront après-demain. — Annule tout ; n’y va pas. — Qu’est-ce que tu racontes Dieudonné ? Pourquoi ? — Je suis passé par ton camp pas plus tard que ce matin. Il… il y a… — Qu’est-ce qu’il y a à mon camp qui te met dans un état pareil ? — Un monstre ! Il y a un monstre qui sillonne ton territoire.