La lumière de l'été n'éclaire pas toujours ce que l'on croit
La lumière de l'été n'éclaire pas toujours ce que l'on croit déconstruit les façades pour donner toute la place à la réalité, souvent crue. Le roman est construit dans un entrecroisement de plusieurs destins, par l'entremise d'un journal tenu par deux diaristes. Le lecteur est donc devant un pluri-discours marquant divers degrés de maturité et qui démantèle, au fil des pages, les apparences pour donner place à la réalité. Juxtaposant l'horizontalité la plus basse - manipulation, mensonge, meurtre, etc. - et un désir sincère d'élévation, ce roman témoigne d'une profonde humanité aux prises avec les aléas de la vie.