L'auteur retrace son parcours atypique qui l'a fait passer par l'ENA, le ministère des Affaires étrangères et l'équipe chargée du Centre Beaubourg, avant de demander sa radiation de la fonction publique en 1976 afin de se consacrer pleinement au service public qui est devenu sa raison de vivre, jusqu'à devenir président du Centre Pompidou.